Pourquoi pas? (LIBRE)

La mort, le rien n'est pas quelque chose qu'un peut imaginer, c'est réel, mais il nous cache la vérité. La mort est pas grand chose, une fois mort, tu ressens rien. Le vide, tu passes d'un monde réel à un monde de fantaisie ou tu trouves enfin la paix et les démons. Tu trouves la mort partout ou tu vas. Le paradis, il n'existe pas, c'est que dans les contes de fées, et si tu crois vraiment à sa, il faudrait que tu essayes de changer car les contes de fées font que détruire ta vie. Ils n'existent pas. C'est la plupart d'entre nous qui non pas la forces d'y croire, il n'ont pas trod. Passer plus haut que nos espérences est risqué. Pour mourir, tu dois souffrir, pour croire aux contes de fées, tu dois mourir. La vie c'est quelque chose de regrettable parfois. La chance ou la malchance existe bien, mais que dans ton monde à toi. Si tu y crois bien fort, c'est que du rien. Et si le rien existe, c'est que c'est rien. Tout à fait normal que le rien et les mondes imaginaires existent que dans les pensées car une fois rendu compte de ta vie gâché, le temps consacré aux mondes imaginaires et au rien, c'est que rien. Alors poursuit ta vie sans croire au rien. C'est mieu qu'aller dans le vide, ou plutôt dans le rien... Le rien est qu'une chose, et cette chose, c'est que toi qui le sais bien...

Un nouvel arrivant. Le même qu'on pu apercevoir le jour de pluie d'orage et nuages. C'était bien celui qui ce trouva sur la plaine du Cerisier des Quatre vents. C'était un étalon dur, courageu, sadique, parfois, mais le plus, c'était qu'il était un vrai et viritable étalon au coeur d'or. La journée commenca assez bien pour lui. Le soleil brillait chaudement sur sa robe. Il n'avait rien d'une journée palpitente et pleine d'aventures surprenantes et de peur. Bof', c'était une journée bien comme les autres. Il marchait toujours dans le même sens en direction d'une ligne droite qu'il c'était tracé lui même. Au pas lourd, il s'avanca. Le soleil était froid. C'était peut-être la cause. L'ombre des arbres. C'était ca. Oui, cette étalon est peut-être mystérieux, cachant des secrèts de famille, mais, ca pouvait qu'être un nouvel arrivant sur les terres de Destiny Island.. C'était un étalon que personne n'avait rencontré encore. Le noir était soudainement disparut.

C'était que à ce moment que les pas devenu de plus en plus lourd. L'esprit de Lord s'envahit de pleins de choses étranges, du passé et même d'un rêve. C'était que des souvenirs d'enfances souvent éffrayant et même plutôt rigolo. Mais on grandit et on s'apercoit vite qu'on était que des enfants. Le souvenirs nous redonnent le goût de revivre cette journée. Lord Conspiration se carbra majestueusement, hénissa puissament avant de retomber sur les sabots frappet le sol fortement. Il piaffa dangereusement le sol avant de se calmer. L'éclair apparut dans ses yeux. C'était comme une force. Il se calma tranquilement, au fil qu'il marchait doucement, sans s'énerver, galopper ou même trotter. C'était une journée étrange bien et belle la bonne température qui s'annoncait en cette journée. Il attendit des craquements qui ne venaient pas de lui. C'était quelqu'un qui marchait aur les branches mortes et froides au sol.Lord regarda autour de lui. Il aperçu une ombre marchant vers lui. Cette ombre ressemblait étrangement à un cheval. Lord Conspiration décida à son tour d'avancer tranquilement. Puis il s'arrêta et aperçu qui ce cacha derrière cette ombre. Cétait..

(Bah... C'est grave si je post pas autant ? J'ai peur d'avoir l'air ridicule >< Je peux quand même ou tu attendrais plutôt quelqu'un qui post tant que toi ?)

(Essaye, ou moin max 10 lignes ?)

Thanatos ... Le Roi de la Mort. Cette forêt posrtait ce nom en l'hommage de cet être, de ce roi. C'était étrange. Rien ici ne rappellait la mort, ou presque. Sur des troncs d'arbres, on pouvait appercevoir des longues traces de griffes acérées et coupantes. Elles étaient pas cinquantaines, toujours plus hautes, comme s'il y avait une compétition entre chaque animal qui passait. Celui qui avait été le plus haut était le plus fort, le plus grand, le plus respecté. Finalement, à y réfléchir, cette règle tenait. Un être fort, courageux et connu était toujours plus respecté, plus remarqué qu'un jeune peureux et petit. C'était la loi de la vie. Toujours plus fort, toujours plus grand. Après tout, c'était normal. Ou dumoins, c'était comme ça. Ces violentes marques pouvaient aussi se traduire par un avertissement à ceux qui trainaient ici. Attention, je ne suis pas loin ... Méfie-toi, la nuit, c'est moi qui règne. Carnivore VS herbivore. Qui partirait ? Le mangeur innofencif, bien évidemment.

Certaines proies ne se posaient pas la question et profitaient de cet avertissement bien suffisant pour s'éclipser, d'autres, plus téméraires, étaient prets à rester, pour voir ce qu'ils valaient réellement ou simplement pour montrer qu'ils n'avaient pas peur ou encore pour dire qu'ils allaient où ils voulaient. Quacao Noir, l'étalon bai qui marchait tranquilement dans les environs, faisait partie de ceux qui n'en faisaient qu'à leur tête. Il partirait lorsqu'il en aurait envie. Après tout, pour le moment, il ne sentait aucun danger autour de lui et les menaces avaient en général du mal à l'atteindre, surtout lorsqu'elles étaient indirectes. De plus, il faisait plein jour et la foêt était si peu dense que, sous une telle luminosité, il était presque impossible pour un prédateur de la taille d'un loup de se cacher et de guetter tranquilement sa proie sans manquer de se faire repérer. Au sol, seules quelques brindilles séchées rêgnaient et quelques fougères pointaient leur nez. Pas un buisson à l'horizon, seuls de grand et épais arbres peuplaient cette sinistre forêt.

Le bai marchait tranquilement et aisément dans cette étendue arboricole lorsqu'il sentit l'odeur commune d'un équidé. Il s'arrêta, faisant craquer sous lui une branche sèche puis scruta lentement les environs. Soudain, perpendiculairement à lui avançait un étalon pie. Ses oreilles se pointèrent vers lui puis il secoua sa tête avant de se mettre tranquilement en marche vers celui-ci.

(Pouah, je crois que j'étais inspirée ^^)

C'est alors qu'il se mit pleuvoir. Je fermais doucement les yeux, soufflant des naseaux, me souvenant un de mes plus profonds souvenirs enfouis dans ma mémoire ...

Je venais de regarder longtemps et avec une profonde mélancolie le laboureur du village, et je me promenais dans la campagne, rêvant à la vie des champs et à la destinée du cultivateur. Sans doute il est lugubre de consumer ses forces et ses jours à fendre le sein de cette terre jalouse, qui se fait arracher les trésors de sa fécondité, lorsqu'un morceau de pain le plus noir et le plus grossier est, à la fin de la journée, l'unique récompense et l'unique profit attachés à un si dur labeur. Ces richesses qui couvrent le sol, ces moissons, ces fruits, ces bestiaux orgueilleux qui s'engraissent dans les longues herbes, sont la propriété de quelques-uns et les instruments de la fatigue et de l'esclavage du plus grand nombre. L'homme de loisir n'aime en général pour eux-mêmes, ni les champs, ni les prairies, ni le spectacle de la nature, ni les animaux superbes qui doivent se convertir en pièces d'or pour son usage. L'homme de loisir vient chercher un peu d'air et de santé dans le séjour de la campagne, puis il retourne dépenser dans les grandes villes le fruit du travail de ses vaseaux. De son côté, l'homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l'avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d'écus dont il n'aura qu'une faiblesse partie, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine. Et pourtant, la nature est éternellement jeune, belle et généreuse. Elle verse la poésie et la beauté à tous les êtres, à toutes les plantes, qu'on laisse s'y développer à souhait.

... puis j'ouvris les yeux, mon souvenir de l'homme et de la nature restant gravé dans les profondeurs de ma mémoire. La pluie de cessais pourtant guère. Je poussais un soupire, un soupire de soulagement et de bonheur. Des gouttes argentées glissaient et perlaient sur ma robe grise. J'étais heureuse, charmée et berçée par la douce fraîcheur et de la musique de la végétation. C'est alors qu'une douce odeur sucrée me vint jusqu'u naseaux. L'odeur de deux étalons, encore inconnus à mes yeux. Je balayais de mes yeux les horizons, puis les aperçu enfin. Et après seulement quelques secondes, je fus en un rien de temps face à eux. Je les saluais d'un signe de tête, hésitante, panachant légèrement ma fine queue et soufflant puissament des naseaux. J'esperais qu'ils n'allaient pas remarquer que je faisais partie du clan des ouranos ...

Lord Conspiration était qu'un rien avant d'arriver ici. La mort, la peur et tout, c'était seul ce qu'il savait vraiment. C"était sa seul qualitée, la méchancité. Mais éffrayer les autres jusqu'à ce qu'ils croient au paradis, c'est trop. Marchant, se relevant devant l'arbre très grand au milieu de la forêt.. Soupira. La seule chose qui ce fit attendre depuis sont arriver, aucuns mots, gestes ou même aucunes phrases déclarant la peur et le reste. Que rien. Rien pour lui est quelque chose, c'est que lui qui le sait, dans sa tête, le rien est quelque chose d'imaginable, de terrible qu'il ne faut pas prononcer ou même croire car la mort peut surgir de nul part. C'était que dans ses pensés qu'il marcha. Même direction, même tout. C'était pas du rien. Il regardait les buissons remplis de petite fraises des champs, délisieuses. Il s'approcha tranquilement. Sans faire de bruit. Puis, il attrapa la fraise qui avait l'air la plus meilleur à ses pensés qu'il croiya fort. Il n'avait pas grand chose à faire si tu veux pas être un étalon solitaire. Marcher en compagnie, c'est quoi ca? Avoir un poulain ou une pouliche, c'est quoi le but, consacrer notre vie à aimer? Jamais dans un monde réel. C"étair que le deuxième soupir qui ce fit entendre de sa bouche. Le regard triste pensant à tout choses qu'il aurait pu faire, pu crée sans la méchancité, regarde ce que je suis devenu, regarde ce que tu as fait de moi. Qu'un être méchant sans aucuns amis, sans aucunes choses à faire. Qu'un rien. C'est pour ca qu'il n'y croiyait pas encore, le rien existe pas au yeux de Lord, c'est rien et ca restera rien à jamais.
C'était que son esprit qui pensait, car il est méchant à tout jamais.

Promenant, soupirant, marchant et hénissant, quoi faire d'autres? Il s'arrêta. Non, il repartit. Il était un étalon seul pendant tout son enfance, et maintenant, il se rendit compte du fait d'être seul et méchant. C''est rien. Son caractère le décrit comme ca, et c'est ce qu'il aime, alors pourquoi forcer quelqu'un à changer? Marchant sur tout les feuilles mortes au sol, il se carbra puissament en hénissant aussi. Il retombit sur les membres, les sabots frapperent fortement le sol avant de se metrre à galopper. Il souria mélancoliquement pour ne pas perdre tout ce qu'il à de plus précieux, mais il s'en débarassera bientôt, ou jamais jamais, c'est le bon mot.. Il stoppa lors d'une rencontre avec une silhouette. Il la regarda avec ses prunelles noires centrés sur elle ou lui. Ils ne bougent pas, c'était la cible parfaite. Elle avait l'air méfiante, elle avair l'air de vouloir passé inaperçu devant lui. Puis, il recula et l'ignora, pour son voeu. Il était méchant, enfin, bref' il n'allait pas être très gentil car il veut se débarasser de cette chose. Alors il la laissa passé inaperçu. Mais ne pu s'enpêcher de dire une phrase. Il pensa à son passé soudainement.
*LORD ATTEND, nous sommes désolés...*
Soupirant, il laissa la parole..
-Fichez le camp, vous n'avez rien à faire ici.

Son enfance était térrible. Sa mère l'avait trahit, ou plutôt ses propre parent. C'est pour ca que dès cette accident, la méchancité règne en lui. Il roupira de nouveau. Ca réflexion commenca tranquilememt, ne savant plus quoi pensé aujourd'hui de lui. Il décida de changer de caractère, être plus gentil avec les autres. Non, qu'une pensé inutile, c'était ce que sa mère lui avait demander, mais l'île est maudite, elle joue avec les caractères. Il souria brièvement. Puis, il attendit des pas, aussitôt, il leva les oreilles. Puis il appercu. Au loin, une deuxième silhouette apparu. Lord soupira. C'était qui?

(j'ai toujours pas compri.Dans tout ton texte tu parles de Splash et après de moi ou c'est l'inverse ??)

(la deuxième silhouette c'est Splash car elle a poster après toi et Lord la appercu après... Wink

)

(Okéééé!! Merci =] )

Alors qu'il s'approchait, tranquilement, le regard posé sur l'étalon, sa silhouette se motrait peu à peu. Il était imposant et fort. Il semblait être tendu, mais ne semblait pas le montrer. On voyait bien dans son regard, sa méchanceté traduite par des yeux noirs comme la nuit, noirs comme l'enfer. Ah, l'enfer. Il conaissait ce mot, mais sa définition lui était inconnue. Elle était partie loin, loin, partie avec son passé. Peut être ce mot avait-il un lien avec sa vie antérieure ? Il n'en savait rien. Tout ce dont il était sur, c'était que c'est noir et sinistre et n'inspire que méchanceté, moquerie et narquoiserie. Le pie noir semblait supporter la présence de l'étalon, mais que très peu. C'est pourquoi il lui demanda de partir, loin de lui. Il lui avait dit, tu n'as rien a faire ici. Au fond de lui, l'étalon se vexa un peux. On n'a pas à dicter la vie d'un autre, surtout quand on ne le connait pas. Le bai s'étonna de cette remarque qu'il s'était faite et, une fraction de seconde, son oeil pétilla, comme pour traduire un rire enfoui.

Quacao Noir fixa longuement l'étalon. Il semblait si agité et stressé... Qu'est-ce qui le tourmentait donc ? Il n'en savait rien, et, franchement, pour le moment, n'avait aucune envie de savoir. Il se contenta de ne pas répondre à la menace de son interlocuteur et se plaça paralellement à lui, grignottant quelques fraises des bois. Elles n'étaient pas encore bien mûres celles-ci et avaient un gout d'eau. L'étalon grimaça, cherhcant plus de saveur et fit quelque pas vers un buisson rempli de framboises rouges bordeaux, plus qu'appétissantes. Finalement, lorsqu'on s'approchait un peux plus, la forêt n'était pas si sinistre ...

Soudain, d'autres pas si firent entendre. Ils étaient plus légers, plus sourds et plus rapides. Certainement une jument ou alors un très jeune étalon. L'étalon conclut à une jument lorsqu'il constata sa silhouette fine et son regard clair. Quacao Noir la regarda un moment pluissourit. Son hésitane salutaion laissait entrevoir une certaine timidité. Le bai ronfla des naseaux en guise de salutations, puis huma l'air. Tiens, l'odeur de la jument était différente. Il lui semblait qu'elle venait des Ouranos, mais n'en était pas sur. Lorsqu'on est nouveau, on ne reconnait pas encore tout. Cependant, face aux si peu de paroles échangées, le bai décida de ne rien en faire et continua son occupation qu'il aimait a entreprendre. Il n'allait pas prendre la parole, puisque Monsieur l'arrogant plus fort que tout le monde et méchantissime (^^ xD) ne voulait déja pas de lui ...

Et bientôt il eu une troisième silhouette. La jument rouanne marchait entre les arbres de cette forêt plutôt sombre et terrifiante. Elle se demandait tout simplement comment elle avait pu tombée ici. Lentement, elle trouva un petit buisson avec des petits fruits rouge. Mmm ! Ils avait tellement l'air délicieux que la petite PSA en prit quelques uns. Ceux-ci avait un goût sûr. Elle plaqua ses oreilles et grimaça pour enfin prendre le grand galop vers une petite source qu'elle avait remarqué un peu plus loin. La jument plongea ses petit naseaux dans l'eau et assoupit sa soif.

Sans vraiment constaté, il y avait beaucoup plus de chevaux ici qu'elle ne le croyait. En renifflant avec ses naseaux ronds, elle pu reconnaitre trois odeurs différentes de chevaux tout ca mélangés avec les odeurs des fruits et des plantes de la forêt. Une jument et deux étalons. La rouanne se retourna et remarqua deux étalons, les deux était un peu plus loin, elle ne pouvait que voir leurs silhouettes imposantes. La fine silhouette de Va' était presque toujours en mouvement. La belle jument s'arrêta donc sur un éclaircis. Là où il n'y avait aucun buisson n'y arbre, juste de l'herbe verdoyante. Elle planta ses yeux sur le ciel. Une pluie fine commença a tombe sur le poil de la jument. Cela faisait tellement de bien. Vanilla se laissa donc rafraîchir par les gouttelettes d'eau et elle ferma les yeux. Elle repensait a tout ce qu'elle avait pu vivre. Ses parents qu'elle avait perdu grâce a ces bipèdes. Elle coucha les oreilles.

Non,Non, sauve toi Vanilla ! Pars, pars loin d'ici !
C'est paroles trottaient dans la tête de la rouanne. Elle ronffla des naseaux et ouvrit a nouveaux les yeux. L'odeurs de ses humains vint piquotté ses naseaux et elle les pinça. Mood reprit donc le pas, silencieusement.

[ C'est à Splash de répondre ^^ ]

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