Alone ? - Pv

L'endroit où était installé la cascade était plein de l'odeur puissante des roses, et quand une légère brise d'été souffla parmi les arbres, je souris. La senteur lourde des lilas et le parfum plus subtil des églantiers se baladait dans l'air frais de ce lieu. J'étais là, presque endormie à côté de la cascade, je voyais dans mes pensées un humain, dans un coin d'un divan fait de sacs persans sur lequel il était étendu, fumant, selon sa coutume, d'innombrables cigarettes. Je pouvais tout juste aperçevoir le rayonnement des douces fleurs couleur de miel d'un aubour, dont les tremblantes branches semblaient à peine pouvoir supporter les poids d'une aussi flamboyante splendeur ; et de temps à autren les ombres fantastiques des oiseaux fuyants passaient sur ma belle rose grise, produisant une sorte d'effet japonais momentané, me faisant penser à ces peintres de Tokyo à la figure de jade pallide, qui, par le moyen d'un art nécessairement immobile, tentent s'exprimer le sens de la vitesse et du mouvement. Le murmure monotone des abeilles cherchant leur chemin dans les longues herbes non fauchées ou voltigeant autour des poudreuses baies dorées d'un chèvrefeuille isolé, faisait plus oppressant encore ce grand calme. Panachant la queue, je souris, et me réveillais enfin, sortant de ma bulle artistique. Je baissais agilement mon encolure et attrapais avec brutalité une touffe d'herbe verdoyante que je mangeais avec modération. Puis, je me couchais sous le grand feuillage vert d'un grand épicea. Je fermais les yeux, et retombais avec rapidité dans un rêve ... Au premier coup d'oeil on pouvait en douter, tant il était maigre, épuisé, vidé ; mais, à le regarder de plus près, on voyait que cet épuisement n'était que le résultat des fatigues longuement endurées dans la misère. En réalité, c'était un animal robuste, d'assez grande taille, plus haute que celle de notre âne d'Europe, élancé, au poil gris cendré avec le ventre clair malgrès les poussières des routes qui le salissaient ; des lignes noires transversales marquaient ses jambes fines aux pieds rayés, et, si fatigué qu'il fut, il n'en tenait pas moins sa tête haute d'un air volontaire, résolu et coquin. Son harnais se montrait digne de la voiture, rafistolé avec des ficelles de diverses couleurs, les unes grosses, les autres petites, au hasard des trouvailles, mais qui disparaissaient sous les branches fleuries et les roseaux, coupés le long du chemin, dont on l'avait couvert pour le défendre du soleil et des mouches. Près de lui, assise sur la bordure du trottoir, se tenait une petite fille de onze à douze ans qui le surveillait. Son type était singulier : d'une certaine incohérence, mais sans rien de brutal dans un très apparant mélange de race. Au contraire de l'inattendu de la chevelure pâle et de la carnation ambrée, le visage prenait une douceur fine qu'accentuait l'oeil noir, long, futé et grave. La bouche aussi était sérieuse. Dans l'affaissement du repos le corps s'était abandonné ; il avait les mêmes grâces que la tête, à la fois délicates et nerveuses ; les épaules étaient souples d'une ligne menue et fuyante dans une pauvre veste carrée de couleur indéfinissable, noire autrefois probablement ; les jambes volontaires et fermes dans une pauvre jupe large en loques ; mais la misère de l'existence n'enlevait cependant rien à la fierté de l'attitude de celle qui la portait. L'image devint soudainement floue, et je me réveillais en sueur, allongée sur le flanc droit, toujours sous cet épicéa.

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Tout le chemain , le parfum fesait apparution, l'odeur de parfum était dans les airs, le vent soufflait à peine fortement. Le vent était doux, le champ des oiseaux se fesait entendre fortement. Lord Conspiration marchait près de la cascade, au loin. Le bruit des chutes d'eau n'était pas assourdissant, c'était magique, mais Lord n'aime pas trop le bruit de la cascade, il est plutôt un étalon étrage et solitaire qui n,aime pas la compagnie. Il arriva, comme tout les jours, seul, soupirant. C'était que à ce moment que les pas devenu de plus en plus lourd. L'esprit de Lord s'envahit de pleins de choses étranges, du passé et même d'un rêve. C'était que des souvenirs d'enfances souvent éffrayant et même plutôt rigolo. Mais on grandit et on s'apercoit vite qu'on était que des enfants. Le souvenirs nous redonnent le goût de revivre cette journée. Lord Conspiration se carbra majestueusement, hénissa puissament avant de retomber sur les sabots frappent le sol fortement. Il piaffa dangereusement le sol avant de se calmer. L'éclair apparut dans ses yeux. C'était comme une force. Il se calma tranquilement, au fil qu'il marchait doucement, sans s'énerver, galopper ou même trotter. C'était une journée étrange bien et belle la bonne température qui s'annoncait en cette journée. Il attendit des craquements qui ne venaient pas de lui. C'était quelqu'un qui marchait aur les branches mortes et froides au sol. Lord regarda autour de lui. Puis il rentra dans une forêt plus loin. Quelque instant après, il sortit.Il venait de sortir de l'ombre. Pour un étalon comme lui, il faut toujours avoir un bain de noir. Sinon, le malheur tombe sur le prochain rencontrant Lord. Il secoua la tête à une vitesse incroyable. Il ricana et souria d'un air mélancolique. Il poursuivit son chemain sur le même air charmeur, drageur et dangereux. Il avanca ne savant plus quoi faire. Il tourna de tout les sens avant de trouver le bon chemain reposant et tranquille pour marcher. Tout les endroits était sois, éclairé par le soleil, trop populaire ou même que des chevaux empruntait ce chemain. Pff' rencontrer des gens super intélligent, super à leur affaire ou encore pire, super populaire et qui se croit pour le dominant 'Le roi des terres WH'. Ces chevaux là, on en a rien à faire. Mieu vaut les tuer avant qu'il souffre étouffé par l'ombre. Lord Conspiration. C'était une après-midi relaxant, calme et lumineux. Les prunelles de Lord était toujours si profonde et noire sans compté quelle était rempli de sang.

Il attendit des craquements survenut de null part. Il regarda tout autour de lui pour enfin se rendre compte qu'un chaval allait arriver pour pouvoir le regretter toute sa minable vie.Il aperçu une ombre assez étrange. La position de l'étalon ou jument. Il attendit les craquements s'approcher et remarqua que c'était bien et belle celui ou celle suivante. Une jument. Mais pourquoi encore sur lui..?